Gestion

Dans les années 1970-1980, les chaussures amortissantes ont suivi l'essor de la course sur route, avec comme objectif de minimiser le risque de blessure ; tout le monde n'est pas Abebe Bikila qui avait gagné en 1960 le marathon des Jeux Olympiques en 2h15mn !

Aujourd'hui, la controverse fait à nouveau rage autour du retour à la "course naturelle", favorisant un faible amorti combiné à une attaque du sol par l'avant du pied et non plus par le talon.

De nombreuses études scientifiques ont été menées durant les trente dernières années sur ce sujet, sans que le débat soit véritablement tranché.

Une certitude : l'onde de choc peut jouer sur deux phénomènes :

  • "L'usure" articulaire à long terme.
  • La "fatigue" (la casse musculaire) à court terme sur une course donnée... surtout important pour les courses assez longues, au delà de 4 à 5 heures.

Dans tous les cas, n'oublions pas que, avant tous les arguments marketings des différents fabricants, la meilleure protection contre ces ondes de choc repose sur le travail de la "qualité de pied" à l'entrainement, notamment par le biais des exercices de proprioception.

Prochainement sur Softrun, un dossier complet sur ce thème.

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